Sophie Viens
Bande dessinée, ÉdAC 2019, UQO

Je m’appelle Sophie, j’ai 23 ans et je suis né dans un village qui se nomme St-Edwidge de Clifton. Avec mon trouble langagier, qui est la dysphasie, la bande dessinée est un excellent moyen de raconter une histoire ou de communiquer des informations. Le lien entre le texte et l’image donne plus de vie à l’histoire et aux personnages.
Quand je crée mes bandes dessinées, j’utilise la technique dite « old school ». C’est-à-dire : je crayonne et j’encre moi-même, parce que ça me tient à cœur de créer de mes propres mains. Cependant, pour les trames, celles-ci sont appliquées via Photoshop. J’utilise des cases rhétoriques, car il n’est pas nécessaire de mettre en scène des effets impressionnants dans mes récits. Concernant mon dessin, il se situe entre les styles manga et cartoon. J’adore la catégorie « tranche de vie ». J’aime écouter et lire le vécu des autres. Et c’est en faisant cela que je réussis à créer des personnages. Il m’arrive souvent de prendre la personnalité et les histoires des autres pour les transposer dans mes personnages.