ÉdACÉcole des arts et cultures

Olivier Michaud

Traduction et rédaction, ÉdAC 2024, UQO

Puisque j’ai toujours eu un intérêt pour les langues et l’écriture, le baccalauréat en traduction et en rédaction était pour moi un choix facile, même si j’ai eu quelques doutes en début de parcours. Trois ans plus tard, je ne regrette rien : je suis tombé amoureux de la traduction.

Le baccalauréat a été un parcours parsemé de défis, d’obstacles, de réussites et d’échecs. J’en ressors plus mature, plus confiant. Surtout, je fais mes adieux aux nuits blanches et au stress m’ont accompagné pendant trois ans, riche d’un meilleur sens de l’organisation et d’une meilleure gestion du temps. Mes cours préférés ont été ceux donnés par Annie Duplessis. C’est elle qui m’a appris le plus d’astuces et permis d’acquérir le plus de connaissances en traduction. Les courts articles portant sur des sujets divers qu’Annie nous donnait à traduire dans l’atelier de traduction me manquent déjà.

Bien que plusieurs domaines m’intéressent, dont la musique et les sciences humaines, je planifie présentement de me spécialiser en environnement. Je veux sensibiliser davantage la population aux changements climatiques et contribuer à sauver la planète, d’une façon ou d’une autre.

J’aimerais aussi éventuellement faire de la traduction littéraire, car les romans sont en grande partie responsables de mon amour pour l’écriture et les langues. Cela m’obligera sans doute à retourner aux études pour suivre des cours supplémentaires. Pour le moment, toutefois, je prends une pause des études et me dirige vers le marché du travail. Je vise un emploi au gouvernement du Canada, idéalement au Bureau de la traduction, ou sinon dans un cabinet de traduction québécois, et peut-être dans une maison d’édition en tant que traducteur littéraire.