ÉdACÉcole des arts et cultures

Gabrielle Gagnon

Bande dessinée, ÉdAC 2025, UQO

Selon mes parents, je lis avidement tout ce qui me tombe sous la main depuis mes cinq ans. J’ai grandi dans une famille qui a nourri ma passion pour les récits fantastiques (mon père m’a appris à jouer à Donjons et Dragons aussitôt que j’ai su lire et compter jusqu’à 20)— la suite naturelle de tout ça était donc de raconter mes propres histoires.

J’utilise l’horreur et le folklore comme toile de fond pour des histoires qui mettent en scène des personnages complexes, et qui parlent d’injustice et de rébellion.

Le tout premier jet de ce qui est devenu mon projet de synthèse, L’Institut Balthazard. Dans cette version, mes personnages travaillaient à leur compte au lieu d’une agence. Mon style a énormément évolué depuis cette planche.

Extrait d’une BD d’horreur courte faite pour l’anthologie Phylactère. J’ai basé l’histoire sur une légende urbaine populaire aux États-Unis, le cryptide Not-Deer, littéralement, le Pas-Un-Cerf.

Une couverture pour une version réimaginée du Petit Chaperon Rouge. Assez facile de s’imaginer ce qui est arrivé sans que j’aie à le montrer— et à mon avis, c’est ce qui fait le plus peur.