Jonathan Grau
Traduction et rédaction, ÉdAC 2024, UQO
Le baccalauréat en traduction et en rédaction permet de toucher à une grande variété d’éléments du domaine. Au fil des trois dernières années, j’ai développé ma compréhension de la langue française, en plus de ma passion pour elle. Les cours que j’ai suivis m’ont amené à découvrir différentes facettes de la traduction et de la rédaction, certes, mais aussi de la terminologie ou même de la localisation. Personnellement, j’ai préféré les cours qui traitaient plus spécifiquement de traduction, un domaine qui m’attire déjà depuis quelques années. J’ai donc été heureux de me familiariser avec les théories qui le sous-tendent et de les mettre en pratique. Cela dit, les cours de rédaction ont été tout aussi intéressants, car ils ont enrichi mon style et accentué le caractère idiomatique de mes traductions. C’est là tout l’objectif du programme : nous amener à rédiger des traductions naturelles, qui donnent l’impression d’avoir été rédigés directement en français.
Le cinéma et les jeux vidéo me passionnent. C’est pourquoi un de mes cours favoris a été celui d’adaptation de textes, où j’ai découvert les particularités du doublage et de la traduction de sous-titres. Depuis que je l’ai suivi, je porte un regard nouveau sur l’effort nécessaire pour adapter ces produits culturels afin que le plus de gens possible puissent les découvrir dans leur langue maternelle.
Le programme permet d’accéder à différentes perspectives d’emploi, et je n’ai pas encore arrêté mon choix. J’aimerais bien me trouver un poste de traducteur salarié, au Bureau de la traduction du gouvernement fédéral, par exemple, mais j’aimerais tout autant me lancer dans le sous-titrage ! Je suis même tenté d’entamer des études de maîtrise en interprétation de conférence.